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2006-05-27 |
Actualités Livre |
Luc Buisine |
Alpinisme et photographie 1860-1940 de Michel Jullien , Pierre-Henry Frangne , Philippe Poncet |
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La présentation de l'Association des Journalistes du Patrimoine :
"Amoureux de la montagne, passionnés d’alpinisme et d’escalade, amateurs de photos autant que d’histoire de la photo, ce livre s’adresse à des publics variés. Il frappe par la richesse de son iconographie : 260 documents exceptionnels traités en six tons, inédits pour beaucoup, issus de fonds privés, de collections particulières ou des archives du Club alpin français. Vertigineux, il place le spectateur directement dans l’action en privilégiant les ambiances « haute montagne », il invite le lecteur à prendre place au sein d’une cordée, en altitude, à s’imaginer ce que pouvait représenter une ascension sur rocher, sur neige ou sur glace à l’époque de l’alpinisme de conquête. Émouvant, nostalgique, il retrace les grands moments de la conquête des Alpes en donnant alternativement la parole à des photographes et des ascensionnistes de renom et à des anonymes dont on découvre les clichés saisissants et méconnus. Il se veut surtout un hommage aux pionniers des Alpes, aux « anciens », nous remettant en mémoire les conditions particulièrement engagées que représentait une ascension avant la démocratisation d’un loisir que permit, entre autres, l’évolution du matériel. Historique, il souligne le parallèle qui existe entre le développement de la photo à la fin du XIXe et au début du XXe siècle et l’extraordinaire découverte des grands sommets alpins à la même période (Alpes françaises, italiennes, suisses, avec quelques échappées dans le massif des Écrins et dans les Pyrénées). La période retenue commence avec les premiers pas de la photographie d’altitude (1870) pour se terminer à l’époque où les « derniers » grands symboles de l’histoire de la conquête des Alpes furent gravis à l’aube de la Seconde Guerre mondiale, avant l’apparition de la couleur (1940). Original et inédit, Alpinisme et photographie rompt avec la tradition des livres de montagne : ses documents crus, véridiques, pris sur le vif, ne cherchent pas à montrer des images esthétisantes, stéréotypées, composées, où prédomine la recherche de l’effet ; autrement spectaculaires, ils restituent l’évolution du geste en montagne et la réalité de toute ascension en altitude." |
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2006-05-08 |
Cerro Torre, le sommet du mensonge |
Luc Buisine |
Cerro Torre, le sommet du mensongeLE MONDE | 08.05.06 | 15h58 • Mis à jour le 08.05.06 | 15h58
e Cerro Torre est une Babel en forme de fusée, la tête perdue trois cents jours par an dans les nuages, couronnée de monstrueux pétales de glace et de givre en équilibre sur des kilomètres d'abîmes. Pas très élevé : 3 128 mètres d'altitude, mais incarnation minérale de l'impossible. Le pic le plus beau, le plus dur, le plus effilé... a inspiré, logique des superlatifs, le plus beau mensonge de l'histoire de l'alpinisme. On le pressentait depuis plus de trente ans, trois grimpeurs viennent d'en rapporter une preuve presque définitive. Mais, avant de présenter ces nouveaux indices, il faut remonter un demi-siècle en arrière. Revisiter une chevauchée fantastique devenue, les années passant, une histoire trouble de mensonge et de culpabilité. Nous sommes au coeur de la Patagonie. A l'est et au sud, vers l'Argentine, le Cerro Torre domine l'austère pampa, des torrents gris et des forêts de hêtres chétifs. A l'ouest, le Hielo continental est un océan de glace survolé de ciels sombres venus du Pacifique. Les 50es hurlants frappent le Torre comme le tuyau tordu d'un orgue de pierre. Les Indiens l'auraient appelé "le Cri pétrifié", ce qui est trop beau pour être vérifiable.
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2006-05-06 |
Patrouille des glaciers |
Luc Buisine |
Stéphane Brosse et Patrick Blanc remportent à nouveau la Patrouille des glaciers
Patrick Blanc et Stéphane Brosse, avec leur compère italien Guido Giacomelli remportent pour la seconde année consécutive la Patrouille des glaciers, la plus gigantesque des courses de ski de montagne.
Une course hors normes ! Les chiffres parlent d'eux même, la PDG est vraiment à part dans le paysage de la compétition de ski de montagne : - 3750 participants (par équipe de 3) - 17 pays représentés - le départ est donné toutes les demi heures sur 2 parcours et 4 courses au total, de 22h à 2h30... - 53 kilomètres de distance pour le parcours A - 4000 mètres de dénivelé - altitude maximale : 3724 mètres - des centaines de bénévoles et l'appuie massif de l'armée Suisse...
Patrick Blanc et Stéphane Brosse battent de nouveau le record de l'épreuve Malgré une météo capricieuse, la patrouille composée des Français Stéphane Brosse et Patrick Blanc, de l’Italien Guido Giacomelli a amélioré de 12 minutes et 54 secondes le précédant record de 2004, établi par les mêmes français Blanc, Brosse et l'italien Jean Pellissier. 6h18’48’’ pour rallier Zermatt à Verbier...

Les suisses font également tomber le record féminin ! Côté femmes, la patrouille suisse composée Catherine Mabillard, Séverine Pont et de Gabrielle Magnenat ont également établi un nouveau record en 8h15’15’’, améliorant de 8 minutes et 23 secondes leur propre record de 2004. Les françaises Corinne Favre , Véronique Lathuraz et Nathalie Bourillon prennent la seconde place.
Les jeunes français prennent leurs marques... Enfin, la jeune équipe française constituée de Didier Blanc, William Bon Mardion et Nicolas Bonnet remporte la première place du parcours B entre Arolla et Verbier.
En savoir plus : - Le site de la patrouille des glaciers |
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2006-04-13 |
Un nouveau rassemblement |
Luc Buisine |
Un nouveau rassemblement pour les amateurs d'alpinisme |
Le Grand Parcours, première édition en juin 2006 |
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Le Grand Parcours est le nouvel évènement des amateurs d'alpinisme. Il est créé et organisé par la Fédération française des clubs alpins et de montagne, et sa première édition se déroulera ce printemps à Ailefroide dans les Hautes-Alpes, les 3 et 4 juin 2006.
Quel concept pour ce rassemblement ? A l'image des « parcours montagne » créés en forêt de Fontainebleau il y a des décennies pour préparer les « bleausards » à affronter les parois alpines, ce nouveau rendez-vous de tous les amoureux de la montagne proposera des parcours assimilables, tant par la difficulté technique que par la dépense énergétique, à une course en haute montagne et comportant tout l'éventail de l'alpinisme : voies rocheuses équipées, non équipées, parcours d'arête, cramponnage en pente moyenne ou sur mur raide, rappels, manipulations de cordes. Quatre itinéraires de niveaux différents (PD, AD, D TD), réalisables en 5 à 6h, seront proposés à des cordées de 2.
Venez profiter aussi des stands des constructeurs, tester le matériel, et glaner les conseils sécurité ou matos ; avant de festoyer ensemble dimanche soir.
Attention : pour des questions de sécurité, il est demandé qu'un des membres de la cordée aie déjà une petite expérience de l'alpinisme .
>> Télécharger la fiche d'inscription au format pdf (467 ko) |
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2006-04-03 |
Nouvelle voie dans les Grandes Jorasses |
Luc Buisine |
Ouverture d’une nouvelle voie dans les Grandes Jorasses
Par Phillipe Batoux et Lionel Daudet |
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Philippe Batoux, conseiller technique chez Millet, et Lionel Daudet, alpiniste renommé, ont tous deux passés 8 jours dans les Grandes Jorasses. Du 14 au 23 mars 2006, ils ont ouvert un nouvel itinéraire dans la face Est de ces montagnes de Chamonix. Plus de 750 m de face, des goulottes à n'en plus finir, mais surtout du mauvais temps. La neige ne les a pas épargnés, et les spindrfifts (morceaux de glace qui tombent pendant l'ascension) non plus. Leur progression, c'est en technique capsule qu'ils l'ont réalisée : un camp de base léger en bas (portaledge et vivres), auquel ils redescendent tous les soirs dormir, pour éviter de transporter tout le matériel chaque jour. Du mixte (neige et rocher), pour ce mois de mars ensoleillé ; pas d'artificiel (c'est contre la philosophie de Lionel Daudet) ; et au final, une belle aventure.
Suivez leur histoire au jour le jour en cliquant ici
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2006-01-21 |
Les proches d'Herzog et Lachenal devant la justice |
Luc Buisine |
On se déchire au tribunal sur la conquête de l’Annapurna en 1950
Procès - Les proches des héros de l’alpinisme Herzog et Lachenal s’affrontent devant la justice.
Bonneville / michel eggs Publié le 21 janvier 2006 dans la Tribune de Genève
C'était le 3 juin 1950. Pour la première fois, deux hommes– Maurice Herzog et Louis Lachenal–atteignaient un sommet de plus de 8000 m.
Cinquante-six ans plus tard, deux versions différentes de la conquête de l'Annapurna ont été défendues, hier devant les juges du Tribunal de Bonneville, par des proches des deux alpinistes entrés dans la légende. Enjeu de ce procès civil: des centaines de milliers d'euros de droits d'auteur et d'indemnités pour tort moral. L'affaire est si compliquée que les juges se sont donné trois mois pour statuer.
Durant tout le temps qu'a duré l'expédition française à l'Annapurna, Louis Lachenal a écrit un journal dont le journaliste et écrivain Gérard Herzog, frère de Maurice, a fait un large usage dans la biographie composite consacrée à Louis Lachenal, Les carnets du vertige. Le livre sort en 1956, une année après le décès de Lachenal, disparu dans une crevasse alors qu'il effectuait la descente de la vallée Blanche.
«Carnets du vertige»
Quarante ans plus tard, les Editions Guérin publient une réédition des Carnets du vertige, une version «enrichie» d'extraits du journal de Louis Lachenal que Gérard Herzog n'avait pas jugé opportun de reproduire. C'est, qu'entre-temps, les enfants de Lachenal ont retrouvé le manuscrit de leur père qui apportait un autre éclairage sur les circonstances de la conquête finale de l'Annapurna.
Viol du droit moral
Aujourd'hui, la veuve de Gérard Herzog part en guerre contre la réédition des Carnets du vertige, clamant qu'il s'agit d'une contrefaçon de l'œuvre originale qui a été tronquée, la nouvelle version violant le droit moral de feu son mari. Au passage, elle s'estime lésée dans le calcul des droits d'auteur et par la cession des droits pour une traduction en espagnol des «Carnets». Mme Herzog réclame en tout quelque 130 000 euros à l'éditeur Michel Guérin, ainsi que le retrait immédiat de la version «enrichie» des Carnets du vertige.
Elle demande également 20 000 euros d'indemnité aux enfants Lachenal, à l'origine d'une «campagne de diffamation» laissant entendre que son mari aurait caché les carnets originaux de leur père.
Réaction des enfants Lachenal: ils attaquent la biographie composite publiée par Gérard Herzog en 1956, dont le mérite, et les droits, reviennent à leur père censuré. Et de demander à Mme Herzog une indemnité de 400 000 euros! Les juges rendront leur verdict le 21 avril.
«Il y a une autre vérité»
Conseil de l'éditeur Guérin et de la famille Lachenal, Me Stéphane Lataste, s'est attaché à défendre la réédition des Carnets du vertige , qui rend au manuscrit de Lachenal son authenticité en révélant des passages censurés. Et l'avocat d'affirmer qu'à côté de la version de l'ascension victorieuse donnée par Maurice Herzog dans son célèbre Annapurna, premier 8000 , «il y a une autre vérité qui mérite tout autant l'honneur d'une publication».
Cette «autre vérité», c'est notamment le passage où Lachenal, qui voulait renoncer, affirme avoir poursuivi l'ascension au-delà de ses limites parce qu'il était persuadé que Herzog, décidé à atteindre le sommet coûte que coûte, ne serait pas revenu vivant s'il était parti seul.
Conscient de la gravité de ses blessures («Je savais que mes pieds gelaient, que le sommet allait me les coûter»), Lachenal dit à propos d'Herzog: «Il était illuminé. Marchant vers le sommet, il avait l'impression de remplir une mission.» Soulignant que ce n'est pas à lui de juger les raisons qu'avait Herzog de continuer, Lachenal poursuit: «C'est pour lui et pour lui seul que je n'ai pas fait demi-tour. Cette marche au sommet n'était pas une affaire de prestige national. C'était une affaire de cordée.» (me) |
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570 |
2006-01-19 |
Rassemblement Alpinisme Eté 2006 |
Bernard Huyghe |
Rassemblement Alpinisme Eté 2006.
Notre destination est décidée:
après: |
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Chamonix en 2001 |
Les Ecrins au départ de Vallouise en 2002 |
Les Ecrins au départ de La Bérarde en 2003 |
Pralognan en Vanoise en 2004 |
Aussois en Haute Maurienne en 2005 |
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Nous irons cet Eté 2006 aux Contamines dans le Massif du Mont Blanc
Office du tourisme |

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Toutes les autres infos (dates / stages / Réservation Camping / Inscriptions etc ...) courant mars ... |
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568 |
2006-01-13 |
Responsabilité des bénévoles |
Bernard Huyghe |
Mme Martine Lignières-Cassou élue de la république, interpelle le ministre des sports, Jean François Lamour, quant à la responsabilité des cadres fédéraux encadrants des sports à risques et plus particulièrementles sports de montagne.
La parlementaire indique que des responsables d'associations lui font part que les bénévoles hésitent ou renoncent à se former pensant que leur responsabilité en sera augmenté.
Le ministre dément
Le texte intégral de l'intervention
Texte juridique Question 74576 p 101 sports - sports de montagne - encadrement. réglementation Origine : Législation et réglementation française > Réponses ministérielles > Assemblée Nationale
Type : Réponse ministérielle
Date de mise en ligne : 07/01/2006
Date de parution : 03/01/2006
Mme Martine Lignières-Cassou souhaite solliciter de nouveau l'attention de M. le ministre de la jeunesse, des sports et de la vie associative sur le problème de l'encadrement des activités physiques de pleine nature en montagne. Elle l'a déjà interrogé à ce sujet en décembre 2004. Il n'est pas normal qu'à ce jour, plus de huit mois après, elle n'ait eu aucune réponse à sa question écrite alors que le délai est normalement de deux mois. Elle souhaite donc obtenir une réponse rapide afin d'être enfin en mesure d'expliquer la situation aux personnes qui l'ont interrogée à ce sujet. Les clubs sont confrontés à un encadrement insuffisant et dont la formation devrait être améliorée. De peur des conséquences judiciaires et pénales, les bénévoles ne souhaitent plus acquérir une formation fédérale, car cette compétence risque de les désigner comme responsable en cas d'accident ou de problème. L'engagement bénévole est en recul, car le flou des règles de responsabilités de l'encadrement pour ce type d'activité à risque a découragé les volontaires. Dans ces conditions, une clarification de la responsabilité réelle des cadres bénévoles de ces activités à risque, particulièrement les sports de montagne, paraît opportune. Elle lui demande donc quelles mesures il compte prendre pour clarifier la situation et les responsabilités juridiques de chacun dans ce type d'activité physique à risque. Elle lui demande la clarification juridique nécessaire afin que l'encadrement bénévole de sports à risque ne soit plus découragé.
Réponse du ministre
Certaines activités sportives sont dites « à risques ». Or le risque est inhérent à la pratique sportive, son acceptation également. Ces activités sont ainsi qualifiées parce qu'elles s'exercent dans des milieux naturels présentant certaines contraintes physiques et/ou climatiques qui rendent extrêmement difficile l'acheminement des secours et l'évacuation en cas d'accident. La moindre négligence, la plus petite absence de précautions peuvent donc avoir des conséquences dramatiques. Il s'agit là de l'« environnement spécifique impliquant le respect de mesures de sécurité particulières », visé par l'article L. 363-1 de la loi n° 84-610 du 16 juillet 1984 modifiée relative à l'organisation et à la promotion des activités physiques et sportives, en son alinéa 5. La montagne est considérée comme constituant un tel environnement. La formation du cadre sportif, pas plus que son domaine d'intervention, n'a d'incidence sur l'étendue de sa responsabilité. Qu'il soit tenu d'être titulaire d'un diplôme parce qu'il intervient contre rémunération ou qu'il soit dispensé de cette obligation parce qu'il intervient à titre bénévole, que son activité s'exerce en environnement spécifique ou pas, c'est le droit commun de la responsabilité civile et pénale qui s'applique (articles 1382 et suivants du code civil, et 121 et suivants du code pénal). Si elle atteste un niveau supplémentaire de connaissance technique et pédagogique de l'activité, l'acquisition d'une formation sanctionnée par un titre fédéral n'expose pas pour autant l'encadrant bénévole à une mise en jeu accrue de sa responsabilité. L'absence de titre ne l'exonère pas de toute responsabilité. Un encadrant bénévole doit en effet avoir, dans tous les cas, les compétences requises pour assurer la sécurité de son public et ne saurait être sous-qualifié. Mais le juge détient en la matière un important pouvoir d'appréciation. La loi n° 84-610 précitée fait obligation aux groupements sportifs de souscrire, pour l'exercice de leur activité, une assurance couvrant en sus de leur responsabilité civile propre, celle des pratiquants du sport et celle de leurs préposés (art. 37). Sont considérés comme tels toutes les personnes qui collaborent aux activités d'une association indépendamment d'un travail salarié et qui sont placées sous son autorité. Le lien de préposition existe donc pour les bénévoles dès lors que leur activité est subordonnée aux instructions de l'association ou de ses dirigeants. Les groupements sportifs sont tenus d'informer leurs adhérents de leur intérêt à souscrire un contrat d'assurance de personnes couvrant les dommages corporels auxquels peut les exposer leur pratique sportive (art. 38). Ce dispositif assez complet permet de garantir la sécurité des pratiquants sans décourager outre mesure les bonnes volontés qualifiées, mais en encourageant un encadrement, professionnel ou bénévole, de qualité.
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2006-01-11 |
Disparition: Harrer, alpiniste autrichien |
Luc Buisine |
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Disparition: Heinrich Harrer, alpiniste autrichien vainqueur de l'Eiger.
LE MONDE | 10 janvier 2006 Ancien nazi, vainqueur de la face nord de l'Eiger, il était devenu le précepteur du dalaï-lama au Tibet. Il est mort samedi 7 janvier à l'âge de 93 ans à l'hôpital de Friesach, dans sa région natale de Carinthie.
>> Lire la suite de l'article sur Le Monde |
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2006-01-05 |
L. Daudet tourne la page |
Luc Buisine |
Lionel Daudet ne "voulait pas faire le solo de trop"
LE MONDE | 28.12.05
a veille de Noël, le 24 décembre, Lionel Daudet a pris une décision inattendue : celle d'"un homme libre", celle de renoncer, à l'âge de 36 ans, à l'alpinisme en solitaire qui faisait sa gloire. ...
>> Lire la suite de l'article sur Le Monde
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2005-11-28 |
DVD Rassemblement Alpinisme |
Luc Buisine |
DVD Montage audio-visuel
Rassemblement Alpinisme Eté 2005
Le montage audio-visuel projeté lors de la soirée
alpinisme du 18/11 sera disponible au prix de 4 euros durant l'AG du CAF
le 03/12.
Avec en bonus les photos de: Anne, Cécile, Henri, Hervé & Eric, Jean (Pipart),
Jean (Tork), Luc, Marie & Nadette, Olivier.
De façon à nous aider dans le travail de reproduction, prière de vous
inscrire sur le
forum
où un "sujet" a été ouvert à cet effet.
Pourquoi le forum ?
De façon à éviter la situation où (réservation par
mail):
- Anne réserve 1 DVD + 1 pour Milène + 1 pour
Benoît
- pendant que Benoît réserve 1 DVD + 1 pour
Anne + 1 Milène
- tandis que Milène réserve 1 DVD + 1 pour
Benoît + 1 pour Anne
Le forum a dans ce cas l'avantage de permettre à
tout le monde de voir ce que chacun y écrit ...
Prière donc de réserver vos copies sur le forum
Cordialement,
Luc
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2005-11-16 |
Repas Alpinisme du 18/11 |
Luc Buisine |
Repas Alpinisme du 18/11
Pour les personnes qui se sont inscrites au repas alpinisme du 18/11, le rendez-vous est fixé à 19h30 - 20h au Flore (voir plan)
Projection: 20h15.
>> Le topo est en ligne (format Flash)
Pour éviter la confusion ( nous serons 60 !!! ), il vous sera demandé en arrivant:
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- de régler ( chèque de 18 € )
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- de faire connaître votre choix de menu
- Entrées:
- Flamiche au Maroilles
- Salade Flore
- Marbré de saumon à l'oseille
- Plats
- Carbonade à la bière de garde
- Filet de colin à l'oseille
- Bavette à l'échalote
- Dessert
- Tarte à la cassonade
- Crumble aux pommes et cannelle
- Coupe glacée Flore
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2005-11-14 |
Création de l'IFREMONT |
Luc Buisine |
Création à Chamonix de l'IFREMONT :
- pôle de télémédecine pour assister les expéditions en montagne
- Aider les alpinistes en danger
- Recherche sur le mal des montagnes
La montagne est un monde à part. Elle a ses passionnés, ses adeptes, ses consommateurs, ses spécialistes. Ceux qui ne peuvent vivre sans le danger qu’elle porte en elle et ceux qui interviennent pour porter secours aux alpinistes qui sont allés trop loin, ou que la montagne a trahis. Médecin urgentiste à l’hôpital de Chamonix, Emmanuel Cauchy a sauvé des vies, attaché au filin de l’hélicoptère du PGHM (gendarmerie de haute montagne) ou de la sécurité civile, pour rejoindre les blessés. Il a imaginé et expérimenté les gestes qui sauvent dans un milieu hostile. La montagne, il l’a connue en tant que soignant, mais aussi comme alpiniste, lors d’expéditions au Népal, en Bolivie ou au Chili ; il a même obtenu son diplôme de guide en 1998.
>> Lire la suite sur : www.brefonline.com
>> Le site de l'ifremmont : www.ifremont.com
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2005-11-14 |
Presse |
Luc Buisine |
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2005-11-10 |
Lafaille vise le Makalu |
Luc Buisine |
Lafaille vise le Makalu |
 Jean-Christophe Lafaille
| Jean-Christophe Lafaille poursuit sa quête des "8 000 mètres". Prochain objectif: le Makalu fin décembre.
Un an après être monté au sommet du Shishapangma, J-C Lafaille va réaliser son onzième sommet de plus de 8000 m avec la première ascension hivernale, en solitaire et sans apport d’oxygène artificiel, du Makalu (8481 m). Le Gapençais qui vise toujours plus haut est en passe de devenir le premier Français à réussir les 14 sommets de plus 8000 m.
>>Lire la suite sur france2.fr |
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